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Se reconstruire : leçons comparatives


La fin de conflits extrêmement violents tels que le génocide rwandais ou encore l’Apartheid en Afrique du Sud a amené à s’interroger sur la réparation psychologique des victimes mais aussi des bourreaux.

En effet, l’idée de soigner les traumatismes engendrés par les conflits armés s’est imposée comme un moyen pour les États de créer les conditions du « revivre » ensemble, espérant ainsi une sortie de la violence durable.

Le travail de recherche analyse cette reconnaissance politique des blessures individuelles comme un travail collectif actant la fin de la violence  mais également comme « le lieu d’une mise à l’épreuve d’une réparation possible à l’échelle collective ».

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Membres du groupe

  • Helene Dumas

    • Champ de recherche Génocide des Tutsi au Rwanda
    • Institution Sciences Po, Bordeaux
    • Position professeure
    • Thème Se reconstruire : leçons comparatives
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  • Clara Han

    • Champ de recherche anthropologie, histoire
    • Institution Johns-Hopkins University, Baltimore
    • Position professeur
    • Thème Se reconstruire : leçons comparatives
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  • Emilie Medeiros

    • Champ de recherche psychologie clinique, anthropologie
    • Institution University College, London
    • Position chercheuse au département de psychiatrie
    • Thème Se reconstruire : leçons comparatives
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  • Valerie Robin-Azevedo

    • Champ de recherche conflits et mémoire
    • Institution Centre d’anthropologie culturelle, Université Paris-Descartes
    • Position directrice adjointe du Centre d’anthropologie culturelle, Université Paris-Descartes
    • Thème Se reconstruire : leçons comparatives
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  • Lotte Buch Segal

    • Champ de recherche violences, conflits
    • Institution University of Copenhagen
    • Position professeure
    • Thème Se reconstruire : leçons comparatives
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